L’hypertrophie bénigne de la prostate :
les effets d’une méthode douce. Lorsqu’un homme éprouve des difficultés urinaires, tout lui indique que sa prostate est la responsable de ses problèmes. Or, les commentaires des hommes qui suivent notre méthode nous indiquent que leurs problèmes de vessie se régulent aussi bien que ceux des femmes, sans toucher à leur prostate ! Leurs témoignages montrent qu’ils parviennent progressivement à aller moins souvent aux toilettes, plus facilement. Cela sans aucune intervention sur la prostate, qui par ailleurs doit continuer d’être contrôlée par leur urologue. La prostate est une glande masculine située sous la vessie. Avec le temps, elle a tendance à augmenter, de manière différente selon chacun… Une petite comparaison, pour voir. Représentons nous une jeune prostate de la taille d’une châtaigne, qui évoluerait pendant de nombreuses années vers la taille d’une orange, par exemple… A ce stade, visualisez une femme prête à accoucher. Imaginez la multiplication du volume de son utérus. Beaucoup de femmes se réveillent la nuit pour vider leur vessie en fin de grossesse. Mais pas toutes. Certes, la glande prostatique n’est pas un utérus, et cette comparaison de volume ne doit pas minimiser la gêne ressentie par de nombreux hommes avec l’âge : sensation d’une pression qui amène à uriner plus souvent ; l’élimination peut aussi devenir capricieuse, il faut attendre, cela vient lentement, avec la sensation de ne pas avoir tout évacué. Quelques gouttes arrivent après la bataille. C’est la prostate ou pas ? La prostate contient une partie musculaire, qui agit sous l'impulsion du système nerveux. Selon le site spécialisé www.prostate.fr « il n'existe pas de relation directe entre le volume de la prostate et l'intensité des troubles ressentis par le patient. Autrement dit, une prostate peut être très volumineuse et ne pas entraîner de troubles urinaires importants et vice et versa » Comme l’explique fort bien Lionnel, le kiné de Corps Capable, dans une des vidéos de notre site, ce sont les messages nerveux vers les organes et vers les muscles, qui régulent leur fonctionnement. La prostate peut être grosse ou petite, la règle est la même : pas de message nerveux = pas de contraction. Mais alors que se passe-t-il? Lionnel, notre kiné-ostéo poursuit : les muscles du périnée peuvent se spasmer, suite à des changements corporels. En effet, des stress ou des événements de la vie peuvent donner lieu à des messages nerveux qui convergent vers le bas de la colonne vertébrale, le centre nerveux de l’élimination. Ils sont répercutés vers le périnée. Ces messages peuvent finir par stresser et perturber l’état des muscles du plancher pelvien, en bout de chaine urinaire. Le périnée peut donc se figer, et entretenir à la longue des dysfonctionnements, parfois même des douleurs. En choisissant des attitudes qui apaisent le système nerveux, l’élimination devient plus facile et le travail de régulation de la vessie peut commencer sur un terrain apaisé. C’est ce que nous proposons dans nos vidéos en ligne. Marie Pierre Charent
Lionnel, notre kinésithérapeute, nous explique dans cette vidéo
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Marie-Pierre CHARENTUne sophrologue passionnée par la recherche de solutions naturelles. Archives
Juin 2017
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