Qu’est ce que l’incontinence ?
Définition de l’incontinence
Ethymologiquement, le terme incontinence, du latin in continere, signifie ne pas contenir, ne pas retenir. L’incontinence se définit aujourd’hui médicalement comme la perte involontaire d’urines en cas de fuite urinaire, ou, phénomène plus rare, la perte involontaire de selles dans le cas d’une incontinence fécale, perte de gaz ou de selles dans l’incontinence anale.
Il existe des solutions naturelles efficaces contre tous les types d’incontinence non pathologiques, impliquant les muscles et le système nerveux.
Il existe des solutions naturelles efficaces contre tous les types d’incontinence non pathologiques, impliquant les muscles et le système nerveux.
L’incontinence en chiffres
L’incontinence urinaire concernerait en France plus de 3 millions de femmes et environ un million d’hommes. En raison du tabou, il est probable que ces chiffres soient plus élevés en réalité. L’incontinence anale reste encore plus secrète et concernerait entre 5% et 11% de la population adulte, selon une étude française. (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16514381) et Doctissimo.
Homme, femme et enfant face à l’incontinence
Une fuite urinaire chez l’homme est une perte d’urine involontaire.
Une fuite urinaire chez la femme est une perte d’urine involontaire.
Chez l’enfant, c’est la même chose, alors, quelle différence pour aborder les fuites urinaires sur le fond? L’anatomie et les hormones différencient un homme d’une femme, et la maturité les différencie d’un enfant, mais les mécanismes restent les mêmes : une vessie pleine déclenche une envie d’uriner et lance la miction. Le système nerveux conjugué aux muscles permet d’uriner après un contrôle cérébral. Ce mécanisme subtil s’installe et se renforce avec des habitudes comportementales, que l’on soit homme, femme ou enfant.
Une fuite urinaire chez la femme est une perte d’urine involontaire.
Chez l’enfant, c’est la même chose, alors, quelle différence pour aborder les fuites urinaires sur le fond? L’anatomie et les hormones différencient un homme d’une femme, et la maturité les différencie d’un enfant, mais les mécanismes restent les mêmes : une vessie pleine déclenche une envie d’uriner et lance la miction. Le système nerveux conjugué aux muscles permet d’uriner après un contrôle cérébral. Ce mécanisme subtil s’installe et se renforce avec des habitudes comportementales, que l’on soit homme, femme ou enfant.
L’incontinence concerne les hommes et les femmes
Les femmes jeunes sont plus impactées que les hommes, mais les différences s’estompent en vieillissant : A partir de 50 ans, les hommes commencent à rencontrer des difficultés urinaires et on estime qu’environ le tiers des personnes âgées de plus de 80 ans présente une incontinence, hommes et femmes confondus.
On traite souvent séparément l’incontinence chez l’homme ou chez la femme, pour des raisons médicales et anatomiques : l’urologue est le premier médecin spécialiste au contact de l’incontinence masculine, alors que la femme aborde plutôt ce sujet avec son gynécologue dans un premier temps.
En cas d’opération, la chirurgie n’est pas la même, en raison d’anatomies urinaires différentes chez l’homme et la femme. La médecine divise donc les deux domaines alors que les mécanismes nerveux et leurs solutions naturelles sont finalement très proches.
Nous constatons, chez Corps Capable, que nos solutions s’appliquent aussi bien aux hommes qu’aux femmes et cela fonctionne en général quel que soit le genre des personnes abonnées.
On traite souvent séparément l’incontinence chez l’homme ou chez la femme, pour des raisons médicales et anatomiques : l’urologue est le premier médecin spécialiste au contact de l’incontinence masculine, alors que la femme aborde plutôt ce sujet avec son gynécologue dans un premier temps.
En cas d’opération, la chirurgie n’est pas la même, en raison d’anatomies urinaires différentes chez l’homme et la femme. La médecine divise donc les deux domaines alors que les mécanismes nerveux et leurs solutions naturelles sont finalement très proches.
Nous constatons, chez Corps Capable, que nos solutions s’appliquent aussi bien aux hommes qu’aux femmes et cela fonctionne en général quel que soit le genre des personnes abonnées.
Les fuites urinaires chez l’enfant et l’énurésiE
Utiliser des couches est un état normal pour le bébé qui n’a pas la maturité pour se controler. Le bébé devient “propre” en général à partir de dix-huit mois pendant la journée et avant l’âge de quatre ans la nuit. Inciter l’enfant à se passer de ses couches fait partie de l’éducation, et cette indépendance acquise est source de joie. En dehors de toute pathologie, l’enfant peut avoir des fuites ou faire “pipi au lit” bien au-delà de quatre ans. Le fait d’uriner pendant son sommeil s’appelle l’énurésie.
Si ces fuites urinaires nocturnes s’installent durablement, il est souhaitable de consulter un médecin. Sans pathologie particulière, dédramatisez et faites aider votre enfant s’il en ressent des effets sur son moral ou ses relations, ou si vous en êtes vous-même perturbé en tant que parent.
Si ces fuites urinaires nocturnes s’installent durablement, il est souhaitable de consulter un médecin. Sans pathologie particulière, dédramatisez et faites aider votre enfant s’il en ressent des effets sur son moral ou ses relations, ou si vous en êtes vous-même perturbé en tant que parent.