Qu'est ce que la dysurie?
La dysurie est un inconfort, une gêne en urinant, ou difficulté à vider efficacement sa vessie. Elle peut sembler contradictoire avec la vessie hyperactive et pourtant, les appels fréquents de la vessie peuvent coexister avec des difficultés à la miction typiques de la dysurie.
Elle peut aussi s’accompagner de douleurs. On parle alors de douleurs pelviennes lors de la miction (acte d’uriner). Le constat de ces difficultés nécessite une visite chez le médecin pour diagnostiquer et traiter en cas de dysurie d’origine pathologique.
La dysurie peut aboutir à une rétention urinaire (la vessie reste pleine malgré les efforts pour la vider). La retenue urinaire prend la forme d’une attente pour uriner, ou d’un jet urinaire faible qui laisse la vessie mal vidée en sortant des toilettes.
Elle peut aussi s’accompagner de douleurs. On parle alors de douleurs pelviennes lors de la miction (acte d’uriner). Le constat de ces difficultés nécessite une visite chez le médecin pour diagnostiquer et traiter en cas de dysurie d’origine pathologique.
La dysurie peut aboutir à une rétention urinaire (la vessie reste pleine malgré les efforts pour la vider). La retenue urinaire prend la forme d’une attente pour uriner, ou d’un jet urinaire faible qui laisse la vessie mal vidée en sortant des toilettes.
Symptômes de la dysurie
Attente avant le début de miction :
La vessie ne démarre pas son processus bien que toutes les conditions soient favorables : l’urine met du temps à sortir.
Miction en plusieurs étapes avec jet urinaire faible :
L’homme ou la femme sujet à la dysurie urine par phases, avec interruption ou ralentissement du jet urinaire.
Douleurs ou brûlures en urinant
Ce n’est pas toujours le cas quand il y a dysurie, mais ces sensations douloureuses évoquent une inflammation de type cystite, prostatite, ou urétrite (inflammation du canal de la vessie : l’urètre).
Sans infection identifiée, la douleur peut être due à une crispation ou incapacité des muscles du périnée à se détendre.
Sans infection identifiée, la douleur peut être due à une crispation ou incapacité des muscles du périnée à se détendre.
Sensation de vessie encore pleine ou mal vidangée après la miction
Malgré le passage aux toilettes, la vessie semble rester pleine, et devoir être vidée de nouveau.
Gouttes retardataires
La miction est achevée et voici que quelques gouttes d’urine arrivent de manière involontaire et tout à fait imprévue. C’est ce que vivent de nombreux hommes de plus de cinquante ans, avec ou sans hypertrophie de prostate.
Causes de la dysurie
Les cystites et urétrites (inflammation de l’urètre ou canal de la vessie) causes fréquentes de dysurie
Lors d’une inflammation de la vessie ou cystite, les sensations de douleurs et de brûlures en urinant perturbent le fonctionnement urinaire : la vessie commence à se vider mais la douleur stoppe le mécanisme. Le relâchement des sphincters n’est parfois plus possible quand on appréhende une prochaine phase de douleur. On peut ressentir un blocage et une vidange incomplète de la vessie. La clé est de soigner d’abord médicalement la cause de la cystite s'il s'agit d'une infection. Il faudra ensuite travailler la confiance dans les capacités du corps en apaisant le dérèglement nerveux et les crispations musculaires qui ont pu s’installer suite aux cystites récurrentes.
De plus, les infections urinaires et les cystites à répétition inscrivent la mémoire de la douleur dans le mécanisme subtil de l'élimination.
Lors des phases aiguës de cystites, l'appréhension et la douleur se transforment parfois en rétention. Le périnée peut devenir stressé, spasmé, et faire barrage non seulement à l'élimination, mais aussi à la vie sexuelle, même en dehors des phases d’inflammation. La douleur provoquée par une vessie et un canal urinaire enflammés devient un nouveau frein qui éloigne la personne souffrante des toilettes, repoussant toujours à plus tard le cauchemar de devoir uriner.
Et pourtant, la vessie appelle très souvent pour soulager le besoin de se vider. C’est le phénomène de vessie hyperactive due à l’inflammation: la vessie se contracte trop souvent parce qu’elle subit des ordres et contre ordres du système nerveux : uriner, peur, douleur, ne pas réussir à uriner, nouveau besoin d’uriner etc…
Il faudrait dans ce cas, après traitement médical de l’infection, relaxer, calmer de façon ciblée, pour que le système nerveux réapprenne à fonctionner plus sereinement.
De plus, les infections urinaires et les cystites à répétition inscrivent la mémoire de la douleur dans le mécanisme subtil de l'élimination.
Lors des phases aiguës de cystites, l'appréhension et la douleur se transforment parfois en rétention. Le périnée peut devenir stressé, spasmé, et faire barrage non seulement à l'élimination, mais aussi à la vie sexuelle, même en dehors des phases d’inflammation. La douleur provoquée par une vessie et un canal urinaire enflammés devient un nouveau frein qui éloigne la personne souffrante des toilettes, repoussant toujours à plus tard le cauchemar de devoir uriner.
Et pourtant, la vessie appelle très souvent pour soulager le besoin de se vider. C’est le phénomène de vessie hyperactive due à l’inflammation: la vessie se contracte trop souvent parce qu’elle subit des ordres et contre ordres du système nerveux : uriner, peur, douleur, ne pas réussir à uriner, nouveau besoin d’uriner etc…
Il faudrait dans ce cas, après traitement médical de l’infection, relaxer, calmer de façon ciblée, pour que le système nerveux réapprenne à fonctionner plus sereinement.
Endométriose de la femme et dysurie
Le tissu qui recouvre l’utérus s’appelle l’endomètre. Il se développe à chaque cycle menstruel pour préparer une éventuelle nidation pour l'accueil d'un futur bébé. Si ces cellules de l’endomètre ne sont pas bien évacuées lors des règles, elles peuvent se développer anormalement, au niveau de l’utérus ou des organes du petit bassin. Ce développement est associé à des douleurs ou difficultés en urinant, mais aussi à des douleurs lors des rapports (dyspareunie) et lors des règles (dysménorrhées).
On dit que les douleurs ressenties en urinant par une femme qui souffre d’endométriose sont proches de celles d’une infection urinaire, mais sans développement bactérien. Le paradoxe est que des envies très fréquentes d’uriner ou pollakiurie peuvent accompagner l’endométriose. Trouver une solution à ces symptômes est un réel soulagement.
On dit que les douleurs ressenties en urinant par une femme qui souffre d’endométriose sont proches de celles d’une infection urinaire, mais sans développement bactérien. Le paradoxe est que des envies très fréquentes d’uriner ou pollakiurie peuvent accompagner l’endométriose. Trouver une solution à ces symptômes est un réel soulagement.
Dysurie et évolutions physiologiques du corps telles que l’hypertrophie de la prostate
Les perturbations pour uriner peuvent survenir pour les hommes dans le cadre d'un grossissement de la prostate appelé hypertrophie ou hyperplasie bénigne de la prostate.
La difficulté sera alors de "tout" éliminer, et sans douleur, lors d'une miction.
L'attitude naturelle de poussée exercée sur la vessie pour réussir à la vider finit par renforcer le problème : la vessie n’est plus active en elle même, son travail naturel est remplacé par la poussée des abdominaux.
Dans ce cas, il faut remédier à ce cercle vicieux qui installe un fonctionnement nerveux en boucle. Des méthodes naturelles donnent de bons résultats.
Dans un deuxième temps, si c’est nécessaire, il sera possible de réajuster les comportements et les muscles pour diminuer les appels fréquents de la vessie.
La difficulté sera alors de "tout" éliminer, et sans douleur, lors d'une miction.
L'attitude naturelle de poussée exercée sur la vessie pour réussir à la vider finit par renforcer le problème : la vessie n’est plus active en elle même, son travail naturel est remplacé par la poussée des abdominaux.
Dans ce cas, il faut remédier à ce cercle vicieux qui installe un fonctionnement nerveux en boucle. Des méthodes naturelles donnent de bons résultats.
Dans un deuxième temps, si c’est nécessaire, il sera possible de réajuster les comportements et les muscles pour diminuer les appels fréquents de la vessie.
prostatite et dysurie de l’homme jeune ou âgé
L’inflammation de la prostate ou prostatite peut se rencontrer à tout âge. Elle provoque un inconfort ou des douleurs en urinant, ainsi que pendant les rapports (phénomène de douleurs pelviennes). Le mécanisme est proche de celui d’une cystite : la douleur stoppe l’écoulement, les muscles du petit bassin se crispent, et mettront du temps à se relâcher de nouveau pour autoriser le passage de l’urine. Lors de la tentative suivante, parfois très proche car la vessie s’est peu vidée la fois précédente ou au compte gouttes, la mémoire de la douleur freine le relâchement du périnée. L’urine ne sort pas bien et c’est le cercle vicieux.
Il faudra appliquer des relaxations spécifiques après avoir soigné les causes de la prostatite pour réapprendre à uriner efficacement et de manière détendue.
Il faudra appliquer des relaxations spécifiques après avoir soigné les causes de la prostatite pour réapprendre à uriner efficacement et de manière détendue.
Pathologies et infections urinaires ou neurologiques
En dehors de la cystite et de la prostatite, des infections urinaires telles que la pyélonéphrite (inflammation des reins) ou certains cancers peuvent provoquer une dysurie.
C’est pourquoi il faut consulter un médecin sans attendre, lorsqu apparaissent les premiers symptômes d’une dysurie.
C’est pourquoi il faut consulter un médecin sans attendre, lorsqu apparaissent les premiers symptômes d’une dysurie.
Infections sexuellement transmissibles
Les maladies sexuellement transmissibles perturbent l’élimination car l’infection s’accompagne d’inflammation des voies génitales très proches des voies urinaires.
Après le traitement de l’infection prescrit par le médecin, le patient peut rechercher une approche naturelle pour retrouver un flux normal.
Des séances de relaxation et une approche musculaire et comportementale ciblée, peuvent aider le jet urinaire à devenir indolore, plein et efficace pour vider la vessie sans interruption.
Après le traitement de l’infection prescrit par le médecin, le patient peut rechercher une approche naturelle pour retrouver un flux normal.
Des séances de relaxation et une approche musculaire et comportementale ciblée, peuvent aider le jet urinaire à devenir indolore, plein et efficace pour vider la vessie sans interruption.
Sclérose en plaque, maladie de Parkinson et dysurie
La sclérose en plaque et la maladie de Parkinson peuvent atteindre le système nerveux et sont susceptibles d’évoluer vers ce type de difficulté à la miction.
Nous avons reçu des témoignages de personnes atteintes de ces pathologies et qui ont constaté un meilleur écoulement urinaire et moins d’envies pressantes après avoir suivi notre programme vidéo en ligne.
Nous avons reçu des témoignages de personnes atteintes de ces pathologies et qui ont constaté un meilleur écoulement urinaire et moins d’envies pressantes après avoir suivi notre programme vidéo en ligne.
Maladie du col de la vessie
La maladie du col vésical se traduit par un rétrécissement en partie basse à la sortie de la vessie, provoquant un ralentissement et une faiblesse du jet urinaire.
Selon les retours de nos abonnés, les exercices de nos programmes ont un effet bénéfique sur la miction malgré l’existence pour certains de cette maladie du col.
Certains hommes choisissent d’éviter l’opération et obtiennent des résultats en terme de facilité d’écoulement et de puissance du jet urinaire sans chirurgie.
Selon les retours de nos abonnés, les exercices de nos programmes ont un effet bénéfique sur la miction malgré l’existence pour certains de cette maladie du col.
Certains hommes choisissent d’éviter l’opération et obtiennent des résultats en terme de facilité d’écoulement et de puissance du jet urinaire sans chirurgie.
Causes comportementales de la dysurie
L’habitude de se retenir pour éviter d’aller uriner
L'appréhension peut venir de l'enfance, du dégoût des toilettes de l'école que l'enfant n'utilise jamais, se retenant jusqu’à l’arrivée à la maison.
Ou encore le refus d’utiliser des WC qui ne nous inspirent pas…
C’est une mauvaise habitude car la vessie est un organe sensible : écouter ses besoins et répondre en temps et en heure évitera des problèmes potentiels comme la dysurie, certaines infections urinaires ou cystites.
Ces retenues volontaires peuvent aussi s’appliquer à la constipation. Pour de nombreuses femmes, repousser le moment d'aller éliminer devient une attitude qui peut se prolonger la vie durant, malgré toutes les tentatives volontaires pour enrayer ce phénomène.
Il est pourtant souhaitable de laisser le corps faire son travail de nettoyage.
Mais parfois, il s’agit d’une contrainte physique ou psychologique qui perturbe le flux urinaire naturel.
Ou encore le refus d’utiliser des WC qui ne nous inspirent pas…
C’est une mauvaise habitude car la vessie est un organe sensible : écouter ses besoins et répondre en temps et en heure évitera des problèmes potentiels comme la dysurie, certaines infections urinaires ou cystites.
Ces retenues volontaires peuvent aussi s’appliquer à la constipation. Pour de nombreuses femmes, repousser le moment d'aller éliminer devient une attitude qui peut se prolonger la vie durant, malgré toutes les tentatives volontaires pour enrayer ce phénomène.
Il est pourtant souhaitable de laisser le corps faire son travail de nettoyage.
Mais parfois, il s’agit d’une contrainte physique ou psychologique qui perturbe le flux urinaire naturel.
Le passage aux toilette forcé ou anticipé
Le mécanisme naturel de la miction doit rester spontané. il risque d’être perturbé si l’on impose des mictions sans besoin réel, parce que “c’est l'heure” ou parce que “ce sera fait avant de partir”...
Il est souhaitable de faire confiance à la régulation nerveuse du corps pour éviter qu’il ne sur-réagisse et aboutisse à des dérèglements comme la dysurie.
Il est souhaitable de faire confiance à la régulation nerveuse du corps pour éviter qu’il ne sur-réagisse et aboutisse à des dérèglements comme la dysurie.
Dysurie et incontinence
On pourrait penser que la retenue ou rétention urinaire est l'opposé de l'incontinence, et pourtant, l'incontinence et les envies fréquentes d'uriner cohabitent souvent avec les difficultés de la dysurie.
La consigne générale (justifiée en cas d’infection urinaire) étant de boire beaucoup, on voit s'installer un cercle vicieux "je dois boire, j’ai donc besoin d’uriner, j'ai peur et je repousse le moment, je favorise un nouvel épisode infectieux par cette retenue…
Finalement, les conditions d'une incontinence d'impériosité arrivent avec cette vessie qui ne sait plus quoi faire.
Alors comment rompre ce cycle? Y a t il un moyen de se réconcilier avec l'acte d'uriner, un moyen de laisser sa vessie se régénérer en diminuant le stress et les agressions?
La consigne générale (justifiée en cas d’infection urinaire) étant de boire beaucoup, on voit s'installer un cercle vicieux "je dois boire, j’ai donc besoin d’uriner, j'ai peur et je repousse le moment, je favorise un nouvel épisode infectieux par cette retenue…
Finalement, les conditions d'une incontinence d'impériosité arrivent avec cette vessie qui ne sait plus quoi faire.
Alors comment rompre ce cycle? Y a t il un moyen de se réconcilier avec l'acte d'uriner, un moyen de laisser sa vessie se régénérer en diminuant le stress et les agressions?
Un traitement naturel pour la dysurie non pathologique
Phytothérapie ou traitement par les plantes
Les traitements par les plantes peuvent soulager mais ne sont pas suffisant pour régler une problématique comportementale d’ensemble qui dure depuis plusieurs années.
C’est pourquoi notre équipe a développé une méthode naturelle qui intègre une rééducation comportementale sur toutes les problématiques urinaires non pathologiques.
C’est pourquoi notre équipe a développé une méthode naturelle qui intègre une rééducation comportementale sur toutes les problématiques urinaires non pathologiques.
Rééducation comportementale de la dysurie
La méthode Corps capable propose des actions pour faire face naturellement aux retenues urinaires et au risque de rétention.
Dans nos programmes pour la vessie sensible et pour les fuites urinaires, une vidéo traite spécifiquement des difficultés à la miction.
Concernant la vessie sensible, et l’incontinence, des exercices et des relaxations sont proposés pour la dysurie. Il s’agit de neutraliser les crispations des muscles striés (dont fait partie le sphincter de l’urètre) pour retrouver un jet urinaire plus régulier.
Parallèlement, nous enseignons certaines postures et attitudes qui habituent le périnée à se détendre. Cela facilite le travail de la vessie. Avec un certain entraînement, votre vessie peut retrouver naturellement un meilleur équilibre de fonctionnement.
Plusieurs séances vidéos sont consacrées à la dysurie et aux problématiques associées (cystites, HBP etc…).
Cela permet aux femmes (elles sont largement plus concernées par les cystites que les hommes, pour des raisons anatomiques) mais aussi aux hommes qui ont une hypertrophie bénigne de la prostate ou HBP , de s'affranchir en partie de ce stress. La méthode proposée est totalement naturelle et respectueuse du corps. Elle réinstalle la confiance par des enchaînements précis d'actes concrets, combinés à des séances relaxantes et tonifiantes en alternance. Ces enchaînements sont spécifiquement adaptés pour agir sur les zones de l'élimination. L'ensemble d'attitudes à mettre en place est décrit dans les formations vidéo.
Les séances vidéo nous guident pas à pas pour appliquer les solutions proposées, et une série de vidéos du programme “réussir à éliminer sereinement” est consacrée aux cystites récurrentes .
Les personnes concernées pourront consulter les parcours vidéo qui permettent d'apprendre concrètement à se réconcilier avec la miction (l'acte d'uriner). Ce programme figure dans le programme vidéo élimination "comment réussir à éliminer sereinement...?"
Dans nos programmes pour la vessie sensible et pour les fuites urinaires, une vidéo traite spécifiquement des difficultés à la miction.
Concernant la vessie sensible, et l’incontinence, des exercices et des relaxations sont proposés pour la dysurie. Il s’agit de neutraliser les crispations des muscles striés (dont fait partie le sphincter de l’urètre) pour retrouver un jet urinaire plus régulier.
Parallèlement, nous enseignons certaines postures et attitudes qui habituent le périnée à se détendre. Cela facilite le travail de la vessie. Avec un certain entraînement, votre vessie peut retrouver naturellement un meilleur équilibre de fonctionnement.
Plusieurs séances vidéos sont consacrées à la dysurie et aux problématiques associées (cystites, HBP etc…).
Cela permet aux femmes (elles sont largement plus concernées par les cystites que les hommes, pour des raisons anatomiques) mais aussi aux hommes qui ont une hypertrophie bénigne de la prostate ou HBP , de s'affranchir en partie de ce stress. La méthode proposée est totalement naturelle et respectueuse du corps. Elle réinstalle la confiance par des enchaînements précis d'actes concrets, combinés à des séances relaxantes et tonifiantes en alternance. Ces enchaînements sont spécifiquement adaptés pour agir sur les zones de l'élimination. L'ensemble d'attitudes à mettre en place est décrit dans les formations vidéo.
Les séances vidéo nous guident pas à pas pour appliquer les solutions proposées, et une série de vidéos du programme “réussir à éliminer sereinement” est consacrée aux cystites récurrentes .
Les personnes concernées pourront consulter les parcours vidéo qui permettent d'apprendre concrètement à se réconcilier avec la miction (l'acte d'uriner). Ce programme figure dans le programme vidéo élimination "comment réussir à éliminer sereinement...?"
Si les difficultés s'accompagnent d'envies fréquentes d'uriner, ou de levers nocturne dûs à l'impériosité de la vessie, ou à plus forte raison d'incontinence, alors il peut être intéressant de suivre les étapes successives du programme vidéo "incontinence et vessie hyperactive...?".
Mais cela ne peut être que dans un deuxième temps. En effet, il est nécessaire d'apprendre à dénouer les tensions progressivement en se réconciliant avec ses fonctions d'élimination, avant de réapprendre la continence sur des bases apaisées et régénérées.
Nous recevons des témoignages de nos abonnés signalant l’apaisement des douleurs résiduelles après une prostatite ou une cystite. Les exercices apaisants se situent en début de programme, car il faut avoir apaisé la dysurie avant d’apprendre à contrôler sa vessie pour uriner moins souvent.
Gérer ensuite la pollakiurie c’est à dire la fréquence élevée des mictions et les éventuels réveils nocturnes (nycturie) suppose qu’il n’y a plus de douleur ou de trop forte crispation dans le périnée.
Bien souvent, en dénouant les muscles et en constatant par ses propres progrès les capacités réelles du corps, des problèmes urinaires anciens arrivent à se solutionner en quelques semaines.
Comment choisir votre programme en cas de dysurie ?
Si votre dysurie s’accompagne d’incontinence régulière, choisissez le programme incontinence.
En revanche, si vous n’avez pas de fuites urinaires, mais une pollakiurie (besoin d’uriner fréquent) et/ou des réveils nocturnes, choisissez le programme “vessie sensible”.
Si des doutes subsistent, contactez-nous pour plus d’informations, nous vous accompagnerons vers la meilleure solution naturelle pour vous.
Mais cela ne peut être que dans un deuxième temps. En effet, il est nécessaire d'apprendre à dénouer les tensions progressivement en se réconciliant avec ses fonctions d'élimination, avant de réapprendre la continence sur des bases apaisées et régénérées.
Nous recevons des témoignages de nos abonnés signalant l’apaisement des douleurs résiduelles après une prostatite ou une cystite. Les exercices apaisants se situent en début de programme, car il faut avoir apaisé la dysurie avant d’apprendre à contrôler sa vessie pour uriner moins souvent.
Gérer ensuite la pollakiurie c’est à dire la fréquence élevée des mictions et les éventuels réveils nocturnes (nycturie) suppose qu’il n’y a plus de douleur ou de trop forte crispation dans le périnée.
Bien souvent, en dénouant les muscles et en constatant par ses propres progrès les capacités réelles du corps, des problèmes urinaires anciens arrivent à se solutionner en quelques semaines.
Comment choisir votre programme en cas de dysurie ?
Si votre dysurie s’accompagne d’incontinence régulière, choisissez le programme incontinence.
En revanche, si vous n’avez pas de fuites urinaires, mais une pollakiurie (besoin d’uriner fréquent) et/ou des réveils nocturnes, choisissez le programme “vessie sensible”.
Si des doutes subsistent, contactez-nous pour plus d’informations, nous vous accompagnerons vers la meilleure solution naturelle pour vous.